- you don't really wanna mess around here -
featuring david&noélie.

Heure vacante. Et, sérieuse qu’elle était Noélie avait décidé de terminer un devoir qu’elle devait rendre la semaine prochaine. Cependant, elle comptait bien concilier l’utile à l’agréable. Et, au lieu d’aller s’enfermer dans une salle d’étude, la belle opta pour la par cet ses kilomètres d’étendue de verdure. La blonde jeta un coup d’œil au ciel, grisonnant, mais toujours mieux que de se retrouver à l’intérieur. Elle remonta la fermeture de sa veste au couleur des Oméga Phi avec des les lettres grecques brodés avec du fil argenté. Puis, traversa l’université, une partie du campus avant de se retrouver à destination. De son sac, elle extirpa ses écouteurs qu’elle plaça sur ses oreilles avant d’appuyer sur la touche « play » de son Ipod, et se cala dans l’herbe contre un arbre. Les minutes s’écoulaient et la demoiselle composait. Noélie n’avait jamais vraiment été scolaire, certains cours l’avaient souvent ennuyé plus que de raison mais malgré ca elle s’était toujours donnée les moyens de réussir. En revanche, maintenant, au jour d’aujourd’hui, elle faisait quelque chose qu’elle avait toujours voulu faire, et qui, par-dessus tout, lui plaisait. Les études qu’elle avait choisit étaient exactement ce qu’elle voulait. Donc, plus de problème. Ainsi, il lui était relativement aisé d’obtenir de bonnes notes, et de faire le travail qu’on attendait d’elle sans trop rechigner. Après de longues minutes, la belle passa une main dans ses cheveux blonds, relever la pointe de son stylo du papier, plissa les yeux un moment, réfléchissant, avant de soupirer et relever les yeux l’espace d’un instant. Ce même et court instant qui se transforma en une sorte de ‘vision de l’horreur’. Ce court instant qui suffit à faire remonter toutes sortes de chose, des choses qu’elle avait préféré oublié, qu’elle avait préféré rayé de sa mémoire. Ce n’est pas possible, elle devait rêver. Elle était en plein délire, en plein cauchemar. Noélie fronça les sourcils, se concentrant pour bien voir espérant de tout cœur que ses yeux lui faisaient défaut, mais apparemment non. Sans trop réfléchir, elle abandonna là ses affaires, perchée sur ses talons elle se dirigea à grandes enjambées vers ce qui la dérangeait, priant les cieux pour qu’elle se trompe. « Qu’est-ce-que tu fais ici !? » lança-t-elle sans ménagement une fois arrivée à la hauteur du jeune homme, lui faisant face. On l'avait connu plus polie et courtoise, mais soit. Par ailleurs, la demoiselle releva ses prunelles vers les siennes, scrutant son visage un long moment. Oui, cela ne faisait aucun doute, elle ne s’était pas trompée sur l’identité de la personne. C’était bien lui.

Ca faisait quoi.. quelques semaines déjà depuis la rentrée, même un peu plus d'un mois. C'est fou comme le temps passait vite à l'université ! Jamais David n'aurait pensé être autant dépasser par le rythme de la vie étudiante. Et je ne parle pas du rythme scolaire mais bien de tous ce qu'il y a autour. Il y avait tellement de chose à savoir à commencer par le fameux meurtre qui vient de précédé cette nouvelle année. Selon la police, une personne est bel et bien à l'origine de ce décès. Un meurtrier se cachait parmi eux, c'est peu banal pour ne pas être relevé et avec la curiosité naturelle chez le jeune homme, un petit article de presse ne suffit pas, il en faut plus, beaucoup plus. L'enquête sur cette affaire amène forcément aux personnes à connaître. Des étudiants les plus hauts influents, ceux qui régissent leur vie. Ceux qui pensent que le corps administratif décide se trompent. Il y a aussi les personnes à ne pas côtoyer, ceux qu'il faut fuir comme la peste. Influençable, superficiel, David l'est. Il y a tellement de choses qu'il est prêt à faire pour s'intégrer, à commencer par rejoindre une confrérie, devoir accomplir des tâches ingrates pour être accepter. Voila ce que fait ce nouvel étudiant de la mvu depuis un mois et accessoirement, étudie. On peut dire que notre jeune bizut à bien 'bosser' jusque-là. Il ne connait certes pas tous les étudiants mais chaque jour est bon pour en rencontrer de nouveaux. Ce jour-là ne fait pas exception. « Qu’est-ce-que tu fais ici !? » adressa une étudiante aux traits familiers. Il plissa les yeux, la dévisagea avant de sourire plutôt amicalement. « Tu es la paumée de l'autrefois ! Et toujours aussi paumée à ce que je vois ! » fit-il en riant, sans un once de méchanceté volontaire. Il adressa un signe de main à son groupe de pote pour leur dire de ne pas l'attendre. « Noélie il me semble ? Tu sais que j'ai flippé en apprenant la nouvelle le lendemain de notre rencontre. Cette fille retrouvée morte, j'ai vraiment pensé que c'était toi ! » Coup du sort, Noélie était pour la énième fois associée à la défunte. Il l'avait laissé dans un tel état qu'il avait douté. Puis pour répondre à sa question, il fit toujours aussi énergique. « Je te l'ai pas dis ? Je suis étudiant ici ! C'était pour visiter ma future université que j'étais la ! J'étais sur de l'avoir mentionné pourtant.. boarf, c'est pas bien grave ! » Si ça l'était. Mais pour l'instant, David ne voyait pas de mal dans la situation, ni au combien elle pouvait être déstabilisée par sa présence ici. Pourtant, un homme sachant des tonnes d'informations compromettantes à son sujet était tout, sauf rassurant.

Noélie se ressaisit, tentant de faire face mais surtout de ne rien laisser paraitre. Les souvenirs de leur rencontre lui revenaient violemment à l’esprit. Et, elle soupira légèrement, oui cela ne faisait aucun doute c’était bel et bien lui. Noélie avait été quelque peu…différente lors de leur première entrevue mais pas dans l’excès au point de ne plus se rappeler des événements. Après quoi, la voix du brun s’éleva… trop fort à son gout. « Je t’en prie, baisse d’un ton. Nous ne sommes pas à la foire ici » lâcha-t-elle sec en dardant ses yeux de ses prunelles hazel. Puis, ne releva pas sur la puérilité de la fin de sa remarque. Bien un première année. Cependant, elle soupira exaspérée. « Noélie il me semble ? Tu sais que j'ai flippé en apprenant la nouvelle le lendemain de notre rencontre. Cette fille retrouvée morte, j'ai vraiment pensé que c'était toi ! » enchaina-t-il. Automatiquement, Noélie l’attrapa par la manche de son t-shirt et l’entraina un peu plus loin, à part disons, où leur conversation ne serait pas écoutée. Les murs ont des oreilles dit-on, il en va de même pour les arbres. Soit. « C’est sympa » fit-elle d’une voix monocorde. La voilà qu’on l’associait, comparait, une nouvelle fois à Ashleigh. A croire que son fantôme planait toujours sur la MVU. Et, le pire pour encore très longtemps. Elle était partout et dans tout les esprits. « Eh bien, rassure toi, je suis bien vivante. » ajouta-t-elle comme absente, pensive. Puis, sa voix s’éleva à nouveau et la blonde releva les yeux vers l’excité. « Oh pxtain…C‘est bien ma veine.. » murmura-t-elle en fronçant les sourcils. « Non, je crois que tu as ’omis’ de le préciser » dit-elle simplement, se pinçant les lèvres. Si seulement elle avait su… elle aurait pu se contrôler et juste la boucler sur certaines choses. Quelques minutes filèrent durant lesquelles sont cerveau s’emballa et au moment où la jeune femme reporta son attention vers le jeune homme, son cœur manqua un battement et elle s’avança d’autant plus vers le brun. « Attend…Tu blagues ! » s’exclama-t-elle en écarquillant les yeux, ceux-ci prenant la taille de deux immenses soucoupes. « Tu es bizut des Kappa ! » ajouta-t-elle presque ahurie en apercevant une broche argentée aux lettres de la fraternité. Soudainement, tout s’enchaina trop vite dans son esprit, beaucoup trop vite, pour qu’elle ne s’auto suive ou que lui-même la suive dans son truc. Elle qui voulait ne rien laisser paraitre, c'était raté. Quoique encore fallait-il qu'il joigne plusieurs éléments dont il ne possédait pas, qu'il la suive dans son raisonnement, pour comprendre. Soit. « C'est quoi ton prénom déjà ? » demanda-t-elle après une autre minute de reflexion.

Qu'il s'agisse de rire à gorge déployé ou bien de fondre en larmes, les sentiments du Johnson était loin d'être un coffre fort qu'il protégeait scrupuleusement du regard des autres. Non bien au contraire, ça se rapprochait plus d'un spectacle avec entrée gratuite ou d'une foire comme dirait l'autre. Il n'était pas pudique pour un sous, ni même avec son corps bien qu'il n'en soit pas spécialement fier. Il était juste comme ça, un mec nature. Et ce manque de pudeur, David pouvait comprendre que cela gêne mais sa réaction soudaine le surprit quelque peu. Le visage déformé par de grands yeux étonnés, on pourrait croire que l'étudiant en rajoutait mais pourtant, toutes ses réactions étaient spontanées. « Hé qu'est-ce que qui se passe ? On a le droit de parler d'elle, c'est pas comme si tu l'avais.. » Il laissa sa phrase en suspend, tourna la tête vivement dans sa direction d'un geste théâtrale. « tué. » fit-il en levant d'un cran la tête tout en la regardant avec des yeux ronds, mais cette fois-ci avec un air parfaitement sérieux. Puis après quelques secondes où il garda les yeux ouverts, son sérieux disparut en même temps qu'il cligna des yeux, laissant place à un rire sonore, mélange de différents cris d'animaux. Cette petite blague passée, il remarqua avec regret qu'elle ne suffit pas à détendre l'atmosphère bien au contraire. Sauf que ça, David ne le remarqua pas. « Attend…Tu blagues ! » dit-elle subitement d'un ton au dessus. Sur le coup, David la dévisagea aussi, reculant sa tête en même temps. « Tu es bizut des Kappa ! » A ce moment là, le bizut fut rempli d'un sentiment de fierté et interpréta son excitation soudaine comme de l'enthousiasme, voir de l'admiration. Vraiment être des kappa y a pas à dire, c'était le top. Il bomba fièrement le torse où siégeait une broche aux couleurs de sa confrérie pour mieux la mettre en avant et répondit avec un large sourire. « Tu peux même dire que je suis un membre à part entière ! Les membres me considèrent déjà comme l'un des leurs et en plus, le président a vraiment l'air de m'apprécier ! » Ce qui n'était pas commun pour les petits nouveaux, bien qu'il lui mène la vie dure. « C'est David, ça aussi j'ai oublié de le préciser ? Au fait, j'ai remarqué que toi aussi t'es dans une confrérie. Elles t'ont accepter finalement ? C'est plutôt cool ! Toi qui déprimait tellement le soir de la fête à cause de ça justement. Qu'est-ce qui a changé entre temps ? »

La blonde releva les yeux vers le brun une fois qu’elle se ressaisit. Noélie perçut rapidement que le jeune éprouvait une certaine fierté à ce qu’elle le désigne comme étant un Kappa. Et, elle grimaça légèrement. Elle savait qu’il y’avait des exceptions, cependant, elle ciblait très bien le genre de personne que cette confrérie possédaient. Puis, au vu de ce que le jeune homme avait retenu d’elle, c’était pas la meilleure des positions qu’elle avait là. « Tu peux même dire que je suis un membre à part entière ! Les membres me considèrent déjà comme l'un des leurs et en plus, le président a vraiment l'air de m'apprécier ! » annonça-t-il fièrement. L’Oméga Phi eut un petit rire jaune. « Redescend de ton nuage » fit-elle en faisant mine de ‘dégonfler’ le torse bombé du jeune homme de son index. « Le Greek System c’est pas si simple. Il ne suffit pas qu’on t’aime. » ajouta-t-elle en plantant ses prunelles dans celle du bizut. « Surtout si tu as Enzo en face » ajouta-t-elle avec un petit sourire mauvais en coin. Noélie n’était en rien mauvaise, vraiment, mais elle était bien placée pour savoir qu’on avait pas tout ce que l’on voulait même si on incarnait toutes les exigences demandée. Par ailleurs, le côté enjoué et confiant presque rêveur et utopique du brun, la fit sourire. De la poudre aux yeux, voilà ce que c’était. Puis, elle connaissait la perversité du président des Kappa. Roi des coups tordus. Fallait se méfier. Mais soit. Il faisait ce qu’il voulait après tout. Ensuite, le moulin à parole se remit en marche et le jeune bizut débita un flot de parole. Dont certaines firent écarquiller les yeux de son interlocutrice. « Oui, oui, merci de ton engouement » fit-elle avant de l’entrainer un peu plus loin en apercevant des étudiants aller dans leur sens. « Finalement oui. Ce qui a changé ? Tu n’es pas sérieux quand tu me demandes ca ? Et, tu prétends entre un futur Kappa » fit-elle en observant ledit David. Sa réplique quelque peu provocatrice. Oui, Noélie avait eu l‘impression, en ce début d‘année, que toute l‘université était au courant. Et, c‘était vrai, toute l‘université était au courant. D’autant plus les confréries. On dira même: surtout les confréries. En effet, la grande qualité des étudiants était leur côté colporteur. Cependant, ce n'était rien comparé aux nombreuses informations qui filaient entre les différentes fraternités et sororités du campus. Mais, fallait croire que ca l’avait loupé à lui, David, fier bizut des Kappas. « Comme quoi tu as encore des choses à apprendre » Ou tout simplement on ne te dit pas tout. Ou encore, il y’a des infos intra-fraternité qui t’échappent. Soit. « La mort d’Ashleigh » se contenta-t-elle de dire en guise de réponse, pensive.

Noélie n'avait pas faux. David était insouciant et bien trop optimiste. Il croyait en l'être humain et à ses valeurs. Il aurait pu faire un très bon humaniste au côté de Montesquieu et Voltaire.. Ou pas. Bref, toujours est-il qu'il était bien trop confiant quand à sa réelle place chez les kappas. Il n'avait pas cette petite voix dans sa tête qui le raisonnait, non je ne parle pas de la conscience mais de la méfiance. Cette voix était Noélie cette fois. Il l'écouta dubitatif, franchement pas convaincu malheureusement. Peut-être plus tard, lorsqu'il l'envisagera d'une autre façon que la paumée. Personne ne prend les conseils d'un inconnu au sérieux. Mais ce jour ne viendra jamais, au contraire leur relation va très vite se dégrader. Mais on verra ça plus tard. « Finalement oui. Ce qui a changé ? Tu n’es pas sérieux quand tu me demandes ca ? Et, tu prétends entre un futur Kappa » Il la regarda toujours avec ses yeux interrogateurs. Un enfant. David était un enfant, percevant le monde d'un regard candide, sans cesse à se poser des questions. Et même s'il ne prenait pas en compte les remarques de Noélie -qui ne perçut même pas comme des conseils- il voulut savoir la suite. « La mort d’Ashleigh » Court, clair, concis. David plissa légèrement les yeux, à son tour pensif. Il épargna son raisonnement à la demoiselle en réfléchissant dans sa tête pour une fois. Puis dis seconde plus tard, son visage se déforma, l'air étonné, les yeux en soucoupe et la bouche en O. Oui, il venait tout juste de comprendre. « Mais attend ça change tout dans ce cas ! » cria t-il comme s'il venait d'apprendre le scoop du siècle. Un éclair de génie le foudroya. Tout à fait sérieusement, il baissa d'un ton et observa Noélie. « Tu t'es déjà dit que le meurtrier pouvait être un de tes amis ? Une personne tellement proche de toi qu'il aurait été prêt à tuer Ashleigh pour que tu prennes sa place afin que tu ne sois plus malheureuse. » Dans son délire, on ne l'arrêtait plus. Il frappa son poing dans sa main à plat, le regard déterminé. « Une liste. Je veux une liste de tous tes amis, ex, partenaires sexuels voir ceux qui rêvent de le devenir. Tout ! »

Ses paroles résonnèrent en écho dans sa boite crânienne. Ces même paroles qui commençaient à l’agacer sérieusement. En effet, depuis le début de l’année Noélie ne comptait même plus les fois où on les lui envoyait en pleine gueule. Voire juste dans des chuchotement néanmoins assez clair pour qu’elle les comprenne sans même tendre l’oreille. Mais tant pis, ca ne l’empêchait pas pour autant de déambuler dans les couloirs la tête haute, d’une démarche gracieuse et assurée qu’était la sienne, le pendentif en or blanc des OP trônant fièrement autour de son cou. Intérieurement c’était une tout autre histoire mais c’était l’apparence qui comptait, n’est-ce pas. La blonde cligna des yeux et reporta son attention sur le jeune homme qui se tenait en face d’elle. Jeune homme qui affichait une mine de gamin incrédule, et elle arqua un sourcil perplexe. Sceptique. Attendant la suite des événements, attendant ce qu’il allait lui sortir. Après quoi il se mit littéralement à hurler. Noélie écarquilla les yeux prête à hurler d’autant plus fort pour le réprimander mais il enchaina sans même lui laisser le temps d’en placer une. « Tu t'es déjà dit que le meurtrier pouvait être un de tes amis ? Une personne tellement proche de toi qu'il aurait été prêt à tuer Ashleigh pour que tu prennes sa place afin que tu ne sois plus malheureuse. » L’Oméga Phi le dévisagea un moment tiraillée entre l’envie irrépressible de rire et la perplexité. Il était sérieux là. C’était quoi ce raisonnement en carton qu’il lui servait. Cependant, elle ne releva pas. Elle qui s’attendait à ce qu’il lui hurle qu’elle était la coupable, qu’il la suspecterait après la phrase qu’elle avait lâchée, ce fut le parfait contraire qui se produisit. David était…imprévisible. C’était exactement le mot qui le qualifiait présentement. Imprévisible. Et, comme s’il avait trouvé la clé du problème il débita. « Une liste. Je veux une liste de tous tes amis, ex, partenaires sexuels voir ceux qui rêvent de le devenir. Tout ! » Noélie roula des yeux exaspérée. « N’importe quoi, tu crois vraiment que quelqu’un irait jusqu’à commettre un meurtre, oui David, un MEURTRE, pour une place au sein d’une sororité. Personne n’irait jusque là pour ca. Ca ne marche pas comme ca » répondit-elle presque avec sagesse. D’ordinaire c’était la blonde qu’on raisonnait et qu’on ramenait sur terre. Or, là c’était assez cocasse, dans la mesure où les rôles étaient inversés pour une fois. Puis, les gens ne tuaient pas pour se genre de chose, et encore moins les exs, les partenaires sexuels -qu’elle n’avait pas- ou les connaissances. Non, la mort d’Ashleigh devait être pour d’autres raisons. On ne jouait pas dans la même cours. Sans compter que les amis de Noélie étaient tous sain d’esprit.