♦ CONFRÉRIE ΩΦ

Omega Phi est la sororité la plus populaire de Michigan Valley University, mais aussi de la plupart des universités du pays. Cette sororité née à Yale en 1858 accueille des étudiantes à la réputation et à la filiation irréprochables.

Afin de conserver son statut, un bureau créé spécialement examine la popularité de la confrérie dans chaque université ainsi que les écarts pouvant y être constatés. Dès qu’une rumeur se répand qui pourrait ternir la réputation si brillante de l’un des cercles, le bureau intervient afin de s’assurer que rien n’entachera son statut. C’est ainsi que depuis 1858, pas moins de douze présidentes étudiant à MVU ont été démises de leur poste suite à un scandale. En contrepartie, les sœurs sont assurées d’obtenir une relation privilégiée avec l’administration, et notamment le doyen. Leurs requêtes et propositions sont plus souvent acceptées que celles des autres confréries, ce dont elles usent sans vergogne. De part le nombre de bonnes œuvres qu’elle effectue et de part le fait que l’administration sait que les jeunes filles sont encadrées par le bureau national, le cercle de MVU n’a jamais été en danger. Il a survécu à toutes les crises en se débarrassant des liens qui l’unissaient aux membres un peu trop impliqués dans un scandale. Bien sur une sélection draconienne est effectuée lors de l’entrée de nouvelles recrues, les étudiantes étant choisies en fonction de leur filiation, du portefeuille de leurs parents ou grands parents, de leurs notes et surtout de leur réputation. Les sœurs du cercle de MVU sont très proches de la fraternité des Sigma Tau Iota, notamment grâce à leurs valeurs et à leur recrutement assez semblables. Ils organisent souvent des évènements ensemble et se soutienne dans la plupart des occasions.

Bien sur les Omega Phi ne sont pas en reste pour ce qui est d’organiser de magnifiques soirées où l’alcool coule autant qu’ailleurs. Elles sont simplement très douées pour laisser penser que les excès ont étés commis par les autres confréries du campus et pour le leur reprocher.